Je crois que je voudrais oublier et enfermer mes souvenirs dans une boîte pas très grande, non, non, juste ce qu'il faut pour faire rentrer tous les souvenirs d'une vie. Elle serait orangée enfin couleur rêves chacun la verrait de couleur différente mais,...
Lire la suitepo & zie
après la canicule, acte2
Les pigeons, les merles sont des sujets légers comme plumes volent au vent le marteau-piqueur, la perceuse sont des tortures depuis quelques jours un panneau sur le portail du voisin "travaux d'agrandissement - début des travaux en juillet" heureusement...
Lire la suiteaprès la canicule quand merle et pigeon
Et voilà que je parle au merle dans le jardin ! je lui pose des questions sur sa vie ses petits tandis que goulument il est à la recherche de petits riens pour les nourrir combien de petits ? je ne sais pas ! au moins un, je l'ai vu qui voletait très...
Lire la suiteje revis
Un frisson me parcoure l'échine, des gouttes d'eau perlent, les frissons s'accentuent, ma vue se brouille des bouffées de chaleur succèdent aux frissons, je me sens défaillir. J'ai chaud, j'ai froid, ma tête tourne dans le vide mes idées m'échappent,...
Lire la suitecanicule de juin J2
Mes mains ne sont pas encore moites elles peuvent courir sur le clavier comme si c'était un piano écrire des mots comme une partition écrire des mots comme une musique Wagner, Lully, Bach, bonheur, malheur, légèreté ou gravité rires ou pleurs qu'importe,...
Lire la suitecanicule de juin
Jour de canicule ordinaire en avance sur le calendrier et comment cela pourrait-il en être autrement ? Aucun autre bruit ne vient troubler la rue pas un chien pas une voiture pas un enfant pas une trottinette pas un scooter même pas un avion dans le ciel...
Lire la suitewww.laruchedesarts.fr Se dire "Je t'aime " d' Elisabeth Regenet - Capuana Comme c’est étrange de se dire : "je t’aime" ! il en aura fallu du temps il en aura fallu des décennies des chagrins des..."> se dire "je t'aime"
TEXTE PUBLIÉ DANS "PLEIN SENS ÉTÉ" de LA RUCHE DES ARTS> www.laruchedesarts.fr Se dire "Je t'aime " d' Elisabeth Regenet - Capuana Comme c’est étrange de se dire : "je t’aime" ! il en aura fallu du temps il en aura fallu des décennies des chagrins des...
www.laruchedesarts.fr Se dire "Je t'aime " d' Elisabeth Regenet - Capuana Comme c’est étrange de se dire : "je t’aime" ! il en aura fallu du temps il en aura fallu des décennies des chagrins des...">Lire la suiteà peine quelques feuilles
À peine quelques feuilles qui se meuvent au vent À peine quelques battements de mon cœur essoufflé À peine quelques rayons de soleil traversant le feuillage du grand arbre rouge flamboyant À peine quelques fourmis apeurées traversant le balcon à la recherche...
Lire la suitesi je savais faire court
si je savais faire court je le ferais si ma vie était plus longue j'écrirais encore davantage si mon ordinateur ne ramait pas et si et si et si si plein d'espoir d'envies de rêves de désirs de regrets aussi si j'avais le temps je ferais autrement si tu...
Lire la suiteMon jardin est si petit
Mon jardin est si petit qu'en quelques enjambées j'en ai fait le tour mon jardin est si petit que j'ai choisi un chien à sa mesure mon jardin est si petit qu'un seul coup d'oeil suffit à le voir tout entier si petit soit-il c'est mon jardin j'y ai planté...
Lire la suitele tiroir à riens
Le tiroir à rien est rempli de riens, "c’est donc le tiroir des riens" un tiroir sans importance ? pas si sûr. Il peut être seul et unique dans une maison, ou avoir fait des petits dans chaque pièce ils sont alors les tiroirs les plus importants d’une...
Lire la suitetemps de paix et de guerre
C'était un temps de paix de calme et d'insouciance le ciel m'habillait de son bleu profond. Ta main dans ma main, tes yeux dans mes yeux, tout respirait le bonheur. Nous venions de nous marier, contre vents et marées et l'avis de la famille. Ils ne le...
Lire la suitemort à venise
Ah ces villes qui me collent aux semelles comme un sparadrap qui ne voudrait pas se décoller ! Elles sont plusieurs elles sont très peu une seule main me suffit pour les serrer dans mes doigts les faire monter dans mon cerveau et partir à rêver que mes...
Lire la suiteune autre nuit encore
À travers les persiennes je devine la lune elle veille sur mon sommeil plutôt sur mon éveil la nuit est venue l’heure du lit le sommeil est venu puis il est reparti. J’écoute les bruits au dehors j’écoute les pas étouffés qui s’éloignent je compte les...
Lire la suitela bouteille et les papillons
Un battement d'ailes du papillon des papillons multicolores de la couleur des couleurs vives et joyeuses les attributs du bonheur une coccinelle des fleurs rouges des fleurs roses des fleurs jaunes. Jeter la bouteille à la mer ? pourquoi pas ! elle est...
Lire la suiteBohemian Rhapsody
Lundi soir soirée entre amies le train égrène l'itinéraire du sens opposé non, c'était le bon quai c'est le disque qui déraille Gare Saint Lazare toujours égale à elle-même belle et affolée italianisme pas de CRS pas de gilets jaunes un peu de calme retrouvé...
Lire la suitela carte postale enneigée
10 heures du matin matin de janvier, le facteur passe la petite chienne aboie pour le saluer à travers la clôture nous nous saluons : "bonjour, comment ça va ? "ça va bien merci" un avion traverse le ciel direction plein Ouest il va vers la mer va-t-il...
Lire la suiteen faire trop ou pas assez
aimer trop ou pas assez se lasser de crier dans le désert se lasser de n'être que transparence plus tard il sera trop tard personne n'est irremplaçable encore que certains êtres ne se remplacent pas ils sont là l'évidence de la présence comme l'air que...
Lire la suiteengoncée
Engoncée dans ma carapace à l'abri des rapaces des menaces des désastres et des lâches, j'attends que le calme et l'apaisement remontent à la surface pour m'ébrouer secouer mes plumes reprendre ma plume et le cours de ma vie, actuellement le silence est...
Lire la suitele banc oublié
Immobile le banc attend il ne sait plus quoi de nouveaux séants de nouveaux enfants des seniors des ados vermoulu oublié au milieu du chemin il survit peu de gens le voit chacun passe son chemin direction le bout de la jetée sans un coup d'oeil à lui...
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